Montréal, chef de file en matière de technologies propres

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Source : blog.mtl.org

Montréal est un pôle de recherche et développement en technologies de pointe, en neurosciences, en éducation, en aérospatiale, en intelligence artificielle, en mobilité durable et transports intelligents, et sa réputation mondiale d’instigatrice d’avancées spectaculaires dans ces domaines n’est plus à faire. Et les récentes découvertes faites ici en matière de technologies propres permettent à notre ville de jouer à nouveau un rôle de premier plan dans ce secteur en pleine croissance.

Un centre d’expertise en technologies propres

L’attention portée par Montréal sur le développement de technologies propres a consolidé sa position de chef de file dans le domaine et les chercheurs montréalais s’attaquent de front aux préoccupations technologiques environnementales les plus pressantes. De la gestion des déchets et de l’eau à la chimie verte en passant par l’efficacité énergétique, Montréal ouvre la voie et la planète en prend note.

Parmi les autres secteurs dans lesquels Montréal se fait remarquer, notons :

  • L’efficacité énergétique
  • Le recyclage
  • Les technologies pour réduire l’émission des gaz à effet de serre
  • Le traitement et l’assainissement des sols et des eaux souterraines contaminés
  • Le traitement des émissions atmosphériques et de l’air ambiant
  • Les technologies de mesure et de contrôle des effluents
  • L’évaluation du cycle de vie

Montréal accueille plusieurs grands laboratoires et organisations de recherche sur les technologies propres

Grâce en partie à des coûts d’exploitation concurrentiels et à une série d’incitatifs fiscaux et financiers attrayants offerts par les gouvernements du Québec et du Canada, Montréal compte plusieurs centres de recherche et organisations importantes dédiés à la cause des technologies propres. Leurs résultats de recherche sont également mis à profit localement. Montréal a déjà adopté les mesures nécessaires pour réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 30 % d’ici 2020 et elle est la première ville en Amérique du Nord en matière de mobilité durable et de transport électrique.

Voici une liste des pionniers actifs à Montréal :

Une ville chef de file en éducation — et son bassin de main-d’œuvre le prouve!

Les établissements d’enseignement supérieur de Montréal en font une véritable ville de savoir et les étudiants reconnaissent que c’est un endroit formidable pour recevoir leur éducation. Et avec plus de 170 000 étudiants inscrits dans les universités ici chaque année, dont 20 000 étudiants étrangers, Montréal forme une main-d’œuvre sur laquelle on peut compter et plusieurs établissements offrent des diplômes et certificats liés aux technologies propres, notamment :

Les technologies propres sont une grosse affaire à Montréal

Plus de 30 000 personnes occupent des emplois liés aux technologies propres au Québec dans plus de 1 000 organisations, dont 200 entreprises de recherche et développement ou de transfert de technologies et 500 entreprises innovantes. Le campus scientifique du Technoparc Montréal abrite également l’Éco-campus Hubert Reeves, le premier centre en Amérique du Nord dédié aux entreprises de recherche et développement en matière de technologies propres.

Des acteurs majeurs tels que SNC-Lavalin et Dessau-Soprin International œuvrent aux côtés de nouveaux pionniers comme Enerkem (qui a mis au point un processus de fabrication de biocarburants et de produits chimiques de régénération à partir de déchets non recyclables) et GHGSat (le premier satellite à haute résolution au monde capable de mesurer les émissions de gaz à effet de serre de n’importe quelle installation industrielle dans le monde). Avec 1,5 milliard de dollars consacrés à la recherche et au développement chaque année et des revenus de 13,3 milliards de dollars, Montréal est un acteur majeur dans la façon dont cet argent est dépensé, mais aussi pour les retombées économiques de ces investissements.

© Tourisme Montréal