Source : Geneviève Meloche
Le contexte du travail change continuellement. Tout le monde ne parle pas le même langage. Les règles établies sont déstabilisées. Les repères collectifs le sont aussi. Il faut dorénavant s’ouvrir à des demandes et des usages qui évoluent, à des demandes qui sont en partie incertaines. On ne sait jamais tout à fait ce qu’un client va demander. La satisfaction du client dépend essentiellement de la qualité de la communication que nous développons avec celui-ci.
Toutes les fonctions professionnelles de l’organisation doivent s’ajuster à cette réalité.
La communication devient de plus en plus centrale et décisive, mais aussi de plus en plus complexe et difficile car il faut s’ajuster à des points de vue, à des langages, à des appartenances culturelles et leurs différents univers professionnels.
L’information ne remplace en aucun cas la communication, en ce sens que la transmission d’information n’implique pas un accord, un effort de s’être compris mutuellement, ni une action conjointe vers un objectif commun.
L’information est une « matière » qui enrichit, facilite l’échange communicationnel, mais elle ne la remplace jamais. La pratique centrale de la communication reste toujours la discussion.
Comment organiser et structurer les informations pour faciliter la communication, pour appuyer la communication et non pas s’y substituer ?
Lorsqu’on communique dans l’activité professionnelle, on vise à se mettre d’accord, par exemple avec un client sur le produit qui va le satisfaire, ou bien avec un collègue sur la manière de résoudre tel ou tel problème. Cela implique d’établir une relation de respect et de mutuelle compréhension.
Si vous ne comprenez pas le point de vue et les attentes de votre interlocuteur, et réciproquement, la communication sera un échec. Heureusement il existe des outils pour vous aider à mieux communiquer et à réussir à atteindre vos objectifs.
Je peux vous accompagner pour mieux « dompter la bête » et optimiser vos communications et vos relations d’affaires.